Production lancée pour la Supercar japonaise Aspark Owl

Trois ans après sa première apparition publique dans le cadre du Salon de Francfort, le constructeur japonais Aspark vient de lancer l’assemblage des premiers exemplaires de sa Supercar électrique Owl.

Pas moins de six années de travail ont été nécessaires au constructeur japonais depuis les premières études du projet, pour le mener à son terme avec le lancement en production des cinquante exemplaires de l’Aspark Owl (le hibou en français), à Turin, en Italie, avec la collaboration de Manifattura Automobili Torino. Mais le résultat final valait bien cette longue gestation.

La Supercar japonaise construite autour d’un châssis monocoque en fibre de carbone ultra-léger (120 kg), abrite sous sa carrosserie réalisée en plastique renforcé de carbone et d’acier, un groupe propulseur composé de quatre moteurs électriques développant au total jusqu’à 2 012 ch et 2 000 Nm, alimenté par une batterie lithium-ion de 64 kWh d’une puissance de 1 300 kW.

Ce package auquel s’associe une aérodynamique optimisée, garantit à l’Aspark Owl une autonomie de 450 km en cycle NEDC, mais aussi et surtout des performances impressionnantes et notamment un 0 à 96 km/h avalé en seulement 1.69 seconde (le 0 à 300 km/h est comblé en 10.6 secondes), ainsi qu’une vitesse de pointe de 400 km/h.

Sur les cinquante exemplaires de l’Aspark Owl promis à la production, dix d’entre eux sont destinés au marché américain, vingt sont destinés à l’Asie et vingt autres au marché au européen. Le carnet de commandes de l’Aspark Owl est ouvert, avec un prix de base fixé à 2.9 millions d’euros l’unité.

Info : Autoblog

Crédit photos : Aspark

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