Cette Aspark Owl dont le carnet de commandes est ouvert depuis un an maintenant, a conservé l’apparence qui était la sienne lors de sa première sortie publique en 2017. Plus précisément, les designers d’Aspark ont souhaité donner à ce modèle une apparence empreinte de féminité, et celui-ci se présente comme une Hypercar surbaissée (elle ne mesure que 99 cm de haut) aux lignes élancées, dotée d’une aérodynamique étudiée intégrant notamment un aileron arrière actif.
Sous cette carrosserie faite de plastique renforcé de carbone et d’acier, l’Aspark Owl abrite un châssis monocoque en fibre de carbone dont le poids n’excède pas 120 kg, équipé de suspensions à double triangulations et d’un système de freinage en carbone-céramique.
Au cœur de l’Hypercar japonaise on trouve enfin quatre blocs électriques développant jusqu’à 2 012 ch et 2 000 Nm, groupe propulseur alimenté par une batterie lithium-ion de 64 kWh d’une puissance de 1 300 kW, offrant une autonomie de 450 km en cycle NEDC.
Les performances de l’Aspark Owl placent le modèle homologué pour la route parmi les plus rapides au monde, avec un 0 à 96 km/h avalé en 1.69 seconde, le 0 à 300 km/h comblé en 10.6 secondes et une vitesse de pointe annoncée à 400 km/h.
Si vous êtes intéressé, sachez enfin que cette Aspark Owl qui sera produite à Turin, en Italie, en collaboration avec Manifattura Automobili Torino, vous sera facturée 2.9 millions d’euros.